Day: January 10, 2022
Jamaican Immigrant Invited To The Woods By White Co-Worker & Never Returned
Canadian Arabic-Language Paper Publishes Column Calling for Israel’s Destruction
n a recent December 31 column in Meshwar Media, an Arabic-language publication that has been accused of antisemitism and of publishing blood libels, praising terrorists and comparing Israelis to Nazis, Kamal Khalaf extols the virtues of the Palestinian “revolution” in the 1960s, when Yasser Arafat of the Palestine Liberation Organization achieved widespread international legitimacy in his terror war against Israel.
While Arafat was not successful in his attempts to destroy Israel, Khalaf praises Palestinian terror groups Islamic Jihad and Hamas, which has claimed the lives of hundreds of Israeli civilians in murderous terrorist attacks. “In Gaza, the Al-Qassam Brigades defend the defenseless and besieged people, with all their capabilities,” Khalaf writes. (HRC received an independent expert translation of this column).
One of the most horrific attacks carried out by the Al-Qassam Brigades was in 2002, when a suicide bomber affiliated with Hamas entered a Tel Aviv discotheque popular with teenagers, and blew himself up, murdering 21 young Israelis, whose only crime was being Jewish.
Not content to merely murder the young, Hamas also sent a suicide bomber to the Park Hotel in the Israeli city of Netanya to target a Passover seder of predominantly older Israelis. The bomber entered, blew himself up, and massacred 30 civilians.
These are two out of countless terrorist attacks which Hamas has perpetrated against Israelis.
As appalling as Khalaf’s advocacy for Hamas is, he offers us an insight into why Israel is so hated in his eyes: Israel’s creation, he argues, was based on “assembling peoples and gangs under the banner of religion to replace a people on their land.”
As has been pointed out ad nauseum, the Jewish People’s presence in the Land of Israel is neither novel, nor new. For three millennia, the Jewish People have lived in their ancestral homeland, outliving empires large and small, who sought to supplant the Jewish presence in the Holy Land.
In 1948, the Jewish People achieved independence from the United Kingdom in their quest for self-determination, an accomplishment which every progressive voice in the world should laud as a template for other groups to emulate.
Of course, when one denies the Jewish People’s historic ties to their homeland, it is no surprise then when the State of Israel is seen as utterly illegitimate. And when this abhorrent historical revisionism takes place, destroying all of Israel becomes a moral necessity.
Interracial couple files discrimination complaint against Flip ‘N Jacks in Ames restaurant
An interracial couple recently filed a complaint with the Iowa Civil Rights Commission after they claimed the owner of Flip ‘N Jacks in Ames discriminated against the husband, who is black.
Dezmen and Lacey Southward said they went to Flip N Jacks with their two sons in early December. The family intended to meet Dezmen’s parents for dinner. However, when Dezmen went into the restaurant to reserve a table for his family, he did not feel welcome.
“When I went in, I was met by a guy who I later found out was the owner,” said Dezmen Southward. Source
“And he told me there are about a hundred people ahead of [me and I] might not want to wait.”
Southward said he added his name to the waitlist even though it was not crowded. However, he noticed that something was odd. “He put my name down on the waiting list…
View original post 212 more words
Espagne: depuis 2015 les mariages forcés ont augmenté de 60%; 14% concernent des filles de moins de 15 ans
Le beau-père de Hannan Serroukh voulait la marier peu avant son 15e anniversaire. Aujourd’hui âgée de 47 ans, elle est membre de la Fondation Politeia et se bat depuis plus de 30 ans pour éviter que la même chose n’arrive à d’autres filles en Espagne. Les mariages forcés dans notre pays ont augmenté de 60% depuis 2015.
Hannan Serroukh est née à Barcelone, fille de parents marocains qui ont émigré en Espagne à la fin des années 1960. Sa vie, intégrée à la société espagnole, est heureuse jusqu’à la mort de son père. C’est alors qu’a commencé un cauchemar dont les conséquences perdurent jusqu’à ce jour.
Sa mère s’est remariée avec un autre Marocain, qui, selon Hannah, l’a utilisée pour venir en Espagne. Adepte de l’organisation fondamentaliste des Frères musulmans, son objectif n’était pas de travailler, comme l’avaient fait ses parents, mais d’ouvrir une mosquée à Figueras.
Avec son arrivée, la vie de Hannan et de sa mère a radicalement changé : la musique était interdite dans leur maison, ils ont dû porter le hijab et cesser d’interagir avec leurs amis espagnols. Selon lui, la fille était “très contaminée par l’Occident”, raconte Hannah, “et il a donc estimé que je devais épouser un homme de son courant”.
Elle a réagi rapidement : “Il avait des références de ma vie antérieure et cela m’a décidé à m’échapper. Elle s’est rendue à Gérone, où elle a été trouvée par un conducteur de train, qui l’a emmenée à la police, puis elle a été placée dans un centre de protection des mineurs.
DES CHIFFRES QUI FONT FROID DANS LE DOS
Grâce à cette évasion, Hannan a pu éviter d’être victime d’un mariage forcé, une pratique qui, en Espagne, a augmenté de 60% depuis 2015 et qui se produit toutes les 2 secondes dans le monde, selon l’organisation internationale Plan. 14% de ces unions forcées concernent des filles de moins de 15 ans, et seulement une sur trois a atteint l’âge de 18 ans.
Quoi qu’il en soit, et selon Hannan Serroukh, dans notre pays, les chiffres prêtent à confusion car peu de filles signalent cette coercition. Cependant, en Catalogne, le nombre de plaintes a doublé depuis 2017 jusqu’à aujourd’hui.
Selon elle, ce sont les imams des mosquées qui bénissent ces mariages, qui ne sont souvent enregistrés que dans le pays d’origine des parents des jeunes filles jusqu’à ce qu’elles aient 18 ans, date à laquelle elles sont enregistrées ici. “Il y a eu des cas de couples se présentant en public comme oncle et nièce, alors qu’ils forment un mariage reconnu par l’imam”, dit Hannan.
Les régions d’Espagne les plus touchées par cette pratique sont, selon elle, la Catalogne, Valence, certaines parties du Pays basque, Fuenlabrada à Madrid et Algeciras en Andalousie.
COMMENT S’ENFUIR
Comment doit agir une fille qui est forcée par sa propre famille à épouser un homme qu’elle ne connaît même pas ? Serroukh dit qu’elle doit entreprendre “un voyage difficile mais qui en vaut la peine”. Elle doit se rapprocher des forces de sécurité du mieux qu’elle peut, leur faire part de sa situation et ils s’occuperont d’elle, car elle sera protégée par nos institutions”.
“Chacun est le maître de sa propre vie et le concepteur de son propre avenir”, conclut Hannan, qui a pu échapper à un mariage forcé, mais a dû payer un lourd tribut : elle n’a pas revu sa mère ni ses frères et sœurs depuis.